Le chocolat contient une centaine de substances chimiques antioxydantes (flavonoïdes, de la famille des polyphénols ou tanins) découvertes dans les fèves de cacao qui sont à l’origine de ses qualités, ces substances possèdent de multiples vertus.
Le chocolat est énergisant grace à la théobromine (un psychostimulant).
Le chocolat contient 40 à 500 mg par 100 g. La théobromine n’a presque aucun effet sur le système nerveux central, contrairement à la caféine.
Le chocolat contient 70 mg par 100 g. de caféine, qui a pour effet d’augmenter la sécretion d’épinéphrine, une hormone cousine de l’adrénaline.
Le chocolat est aphrodisiaque par 0,4 à 0,6 mg gramme de phényléthylamine (PEA). Cette molécule stimule la fabrication par le cerveau de dopamine.
Le chocolat est anti-vieillissement grace à la vitamine E et les flavonoïdes qui sont des antioxydants et neutralisent les radicaux libres.
Le chocolat est bon pour le cœur grace aux flavonoïdes ;
Le chocolat est un décontractant musculaire par sa richesse en magnésium : le chocolat est riche en phosphore, en potassium et en fer. 100 g. de chocolat fournissent un tiers des besoins journaliers de ces minéraux.
Le chocolat contient aussi une molécule endogène : l’anandamide. Les effets de cette molécule peuvent être comparés à ceux du cannabis, pouvant expliquer les effets euphorisants du chocolat.
Mais cette molécule n’est présente qu’en infime quantité. L’anandamide engendre une levée de l’inhibition de la production de dopamine, augmentant ainsi, indirectement, la quantité de dopamine produite.
Le chocolat est déconseillé ou alors en quantité limitée pour les personnes souffrant de goutte (car libération d’acide urique), de reflux gastrique ou d’insuffisance rénale.
Le chocolat peut provoquer des allergies.